On arrive à Cannes le premier jour du festival. Super ambiance. Les retardataires sont en train de préparer leurs stands dans le village international. Le festival promet d’être assez mouvementé. Imed Marzouk(le producteur du film) est inscrit au producer’s network : un cercle fermé de Cannes où les producteurs au « super badge jaune », le plus puissant du festival, se rencontrent chaque matin autour d’un petit déjeuner copieux pour acheter, vendre et chercher des financements pour leurs projets.
Badi (le monteur du film) et moi préparons les deux projections du film dans le pavillon du sud.
Anne Guimet, attachée de presse du Festival de Cannes aime beaucoup le film et soutient l’équipe de Kahloucha. Rencontre et présentations autour d’un plat de pâtes dans un restaurant de la croisette. Nous sommes charmés. Deux jours après, l’affiche du film était accrochée au dessus du bureau d’Anne Guimet dans le palais du festival.
La montée des marches du festival se fait dans la joie. La délégation tunisienne est au complet. Très drôle de se voir habillé comme un pingouin !
La projection se fait dans la superbe salle démontable conçue et construite pour l’occasion par le célèbre architecte Patrick Bouchain. Toute la délégation tunisienne est là. Elyes Gharbi couvre l’évènement pour Mosaïque FM. Plusieurs journalistes sont là pour couvrir la journée tunisienne.
Superbe projection de Kahloucha. Public emballé. La journée tunisienne était une des plus réussies de la section « Tous les cinémas du monde ».
Le soir, une méga soirée sur la plage du Martinez. En effet, la soirée tunisienne a été une des plus courues du festival cette année. Très réussie et très arrosée aussi.
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